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© CNL

Guy Rewenig

Luxembourg

Pseudonymes : Juanita Banana ; gr ; Norbert Krantz ; Tania Naskandy ; Leo Roth ; United Guys

Guy Rewenig grandit à Gasperich et à Cessange. Après son baccalauréat à l’Athénée de Luxembourg, il accomplit une formation à l’Institut pédagogique de Walferdange. Il est d’abord instituteur à Bettembourg, puis, à partir de 1971, à Esch-sur-Alzette. Depuis 1984, il vit à Nospelt et travaille comme écrivain indépendant.

Guy Rewenig écrit des récits brefs, des pièces de théâtre, des romans et des livres pour enfants en luxembourgeois, en allemand et en français. Son œuvre livre un panorama critique de la société, de la politique et du monde culturel luxembourgeois.

En 1963, Guy Rewenig publie ses premiers articles dans le Luxemburger Wort. Depuis, il écrit pour de nombreuses publications luxembourgeoises et étrangères, entre autres pour les périodiques d’Lëtzebuerger Land, forum, Tageblatt, Grénge Spoun, ensemble et Kulturissimo. L’auteur fait partie des membres fondateurs de l’Association de soutien aux travailleurs immigrés (ASTI) en 1974. Il affiche ses positions sur des sujets de société comme l’émancipation, la pédagogie, la censure, l’immigration, la politique nationale et culturelle ou encore les droits de l’homme. En 1973 et 1974, il édite, en collaboration avec Guy Wagner, l’hebdomadaire Kontrast, engagé dans les domaines politique et social. Guy Rewenig écrit également pour Les Cahiers luxembourgeois, Regards d’écrivains et 20 ans d’éditions Phi. En outre, il anime la rubrique 10 ultimative Gründe… dans Livres-Bücher. En 2006 et 2008, il publie les recueils Cross Country, une sélection de ses articles parus dans le cadre de la rubrique bihebdomadaire Cross Country dans d’Lëtzebuerger Land, complétée par une série de chroniques inédites. Il a également animé la rubrique Made in Happyland, également dans d’Lëtzebuerger Land.

Guy Rewenig écrit des poèmes mettant en cause la société. Ils sont publiés entre autres dans les anthologies Händedruck, Luxemburg literarisch, Au-delà du désespoir, Dialogues, Poésie internationale et Fir den Aarbechter mäi Papp. À partir du début des années 1970, l’auteur publie une série de recueils de poésie dans lesquels il prend le parti des ouvriers et des marginaux, accuse les décideurs politiques et économiques et met au jour les problèmes de la société luxembourgeoise, entre autres dans Kampfmaschine, Auf dem Leben steht Todesstrafe ou Schaarfe Wand laanscht den Owend. Quelques-uns de ses poèmes sont repris dans des livres d’artistes comme Deux escargots franchissent le mur du son, avec des œuvres de Robert Brandy. Le livre d’artiste Horreurs et Délices de la chasse gardée, avec des textes de Guy Rewenig et des sérigraphies de Brandy, paraît en 2007 chez l’éditeur irlandais redfoxpress en français, et sous le titre Horrores e delícias do couto de caça en traduction portugaise de Rosa Leonor Dias. 

Même si All unsere Leitungen sind leider besetzt et Je n’arrive pas à dormir, tous deux publiés en 2015, continuent d’utiliser la forme poétique pour remettre en question de façon critique les petites absurdités quotidiennes, l’auteur se consacre de plus en plus à la prose courte au tournant du millénaire. Sous les titres Der echte Kanufahrer rudert mit den Händen (2000), Dein Herz aus Eis macht mich ganz heiß (2001) et Ungestüm hüpft der Hirsch in sein Kostüm (2002) sont publiés des recueils d’aphorismes pointus et de saynètes pittoresques incitant à la réflexion. Avec Album der Irrtümer und Wohltaten (2002), Guy Rewenig se tourne pour la première fois vers le genre du dictionnaire satirique, dans la tradition de l’écrivain américain Ambrose Bierce. Krass (2012) et Häwwi! (2013) le voient continuer dans la veine des aphorismes critiquant l’ordre social sous forme de lexique.

La première pièce de théâtre de Guy Rewenig, Interview, est représentée en allemand au Théâtre municipal de Luxembourg en 1970. En 1974, il écrit sa première pièce en luxembourgeois, D’Sakgaass, en collaboration avec Josy Braun et Guy Wagner. Mettant en cause la politique luxembourgeoise, elle suscite des polémiques. Par la suite, Guy Rewenig écrit de nombreuses pièces de théâtre pour enfants, représentées dans des écoles et au Théâtre municipal d’Esch-sur-Alzette. Il rédige également des spectacles de cabaret comme Zäitbomm et Blanne Manöver, représentés par la troupe Dreschmaschinn. D’autres textes de cabaret, intitulés schwaarz lëschten, sont mis en scène au Théâtre municipal d’Esch-sur-Alzette et publiés dans la série Escher Hefte, dans le cadre de laquelle neuf fascicules avec des histoires, des comptines et des pièces de théâtre de Guy Rewenig sont édités en 1980 et 1981. Dans les années 1980, l’auteur écrit par ailleurs des pièces pour la troupe Theater GmbH, représentées à la Kulturfabrik d’Esch-sur-Alzette, telles que Matzen am Wanter brennt den Äisbierg (1984) et Fräi Nuecht. Les drames sociocritiques de Guy Rewenig s’inspirent par endroits du théâtre de l’absurde. Ils contemplent la société luxembourgeoise avec un regard ironique, voire satirique, et évoquent entre autres les problèmes et le mode de vie des ouvriers du bassin minier, à l’image de Biergerkrich (1975). Des pièces de Guy Rewenig ont été représentées au Théâtre municipal d’Esch-sur-Alzette (Botz, Eisefrësser), au Théâtre du Centaure (Koschong) et au Théâtre national du Luxembourg (Ventilator, Schock la Muuss!). La pièce Eisefrësser est traduite en polonais pour la revue Dialog de Marek Zeller et traduite en français par l’auteur, en collaboration avec Philippe Noesen et Claude Frisoni, sous le titre Le CarnAcier. En 1994, elle est représentée sous la direction de Frank Hoffmann en version luxembourgeoise et en traduction simultanée au festival Bonner Theaterbiennale. Au cours de la saison 2006-2007, Guy Rewenig participe à la première résidence d’auteur du Théâtre national du Luxembourg. Par la suite, ses pièces de théâtre et des mises en scène de ses textes de prose courte sont régulièrement à l’affiche du TNL, comme Dom Juan(ita) (2014), Zuppermänner (2016), De schéine Männchen, une farce sur des motifs de Marcel Reuland (2016), ou encore Comment blanchir les bêtes noires sans les faire rougir (2017). Cette dernière œuvre reprend la figure de l’Africain Mwayé, découvert dans Le Chef d’orchestre à la baguette de bambou, et relate à nouveau ses efforts pour comprendre la société luxembourgeoise.

Guy Rewenig joue un rôle éminent dans le domaine du roman luxembourgeois. En 1985, il publie le premier roman moderne en luxembourgeois, Hannert dem Atlantik. C’est le point de départ d’un cycle de cinq ouvrages, conclu en 1998 avec Vakanz am Pazifik. Sa prose satirique se distingue par son maniement vivace et créatif de la langue luxembourgeoise. Ses romans dénoncent la mentalité petite-bourgeoise, l’apathie et l’hypocrisie. Les textes traduisent l’attitude anticléricale et antimonarchiste de l’auteur et fustigent des valeurs traditionnelles surannées. Guy Rewenig se positionne toujours du côté des exclus de la société, parmi lesquels, par exemple, les travailleurs immigrés. Le Chef d’orchestre à la baguette de bambou (2007) adopte la forme d’une lettre fictive, rédigée par un immigrant africain ingénu du nom de Mwayé et adressée à « Monsieur le Président du Luxembourg ». Celle-ci jette un regard satirique et mordant sur la politique nationale et communale du pays. Dix ans plus tard, le livre connaît une suite avec Comment blanchir les bêtes noires sans les faire rougir, dans lequel Mwayé adresse cette fois un courrier à « Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères » et dresse un nouveau bilan de l’actualité politique luxembourgeoise. Entre 2009 et 2011, l’auteur publie, sous le pseudonyme de Tania Naskandy, trois courts romans en luxembourgeois, Sibiresch Eisebunn, Feierläscher et Am Bësch, ce qui déclenche des spéculations autour de son identité dans la presse nationale.

Cet intérêt accru pour le genre de la nouvelle marque aussi le passage simultané de Guy Rewenig aux aphorismes et autres miniatures scéniques. En 2014 paraît Witfraeclub, un recueil de récits autour de quatre vieilles dames, toutes veuves, qui, d’un ton grincheux, commentent la société luxembourgeoise contemporaine. Les dialogues et monologues prennent une place de plus en plus importante dans l’œuvre de Guy Rewenig. Ainsi, les recueils de récits satiriques Déi bescht Manéier, aus der Landschaft ze verschwannen et Zuppermänner sont entièrement rédigés sous forme de dialogues, voire de monologues. Les saynètes dépeignent, tout comme 13, Waassergaass de Jemp Schuster ou les pièces de Roger Manderscheid des années 2000, la lutte de l’individu contre les absurdités du quotidien. Do wéinstens däi Sonnebrëll aus, wann s de mam Kapp duerch d’Mauer renns, sorti en 2017, rassemble également des monologues de contemporains introvertis, des remarques grincheuses d’êtres humains insatisfaits, des dialogues improductifs toujours renouvelés entre partenaires de longue date ainsi que des scènes où l’on découvre des personnes généralement âgées considérer le quotidien comme menaçant, ne décelant aucun sens à leur existence à cause de leur amertume. Le recueil de nouvelles Den Här Müller spréngt iwwert säi Schiet a land am Guinnessbuch vient conclure en 2020 la trilogie thématique et structurelle commencée avec Déi bescht Manéier, aus der Landschaft ze verschwannen et Do wéinstens däi Sonnebrëll aus, wann s de mam Kapp duerch d’Mauer renns. Ici aussi, l’auteur dévoile la solitude et la vulnérabilité humaines cachées derrière une façade de prospérité matérielle et de sécurité financière.

À l’automne 2020, toujours sous le pseudonyme de Tania Naskandy, paraît le recueil da ist was im busch, dans lequel l’auteur examine de manière critique, sous la forme de haïkus, la gestion politique de la crise dite de la covid et ses conséquences sociales. Le satiriste s’interroge sur les motivations des décideurs et met en lumière la dynamique psychologique de groupe et les conséquences émotionnelles des restrictions croissantes qui entravent le débat et l’action. Le recueil Den Herkull Heng béit mam klenge Fanger e Lutepotto an der Strooss viru sengem Haus a kritt décke Sträit mam Elektricitéitswierk, paru en 2021, poursuit la réflexion de l’auteur sur les tendances politiques et sociales actuelles du pays. Il entend démasquer l’hypocrisie, la délation et la brutale étroitesse d’esprit qui sévissent sous couvert de tolérance et de bienveillance. Les neuf nouvelles se déroulent dans un monde absurde, cynique et cruellement autocratique, où des personnes perdent inexplicablement leur identité du jour au lendemain, où des militants écologistes se révèlent de véritables consommateurs pollueurs et où des petits-bourgeois hystériques détruisent la vie d’un enfant. Dans les deux derniers textes apparaît à nouveau le personnage du poète cynique Wolak, également auteur de livres pour enfants : tandis que, dans la première histoire, il discute de manière pertinente avec le directeur de la Bibliothèque nationale débordé et désabusé, dans la dernière, Wolak capitule devant la situation actuelle et modifie l’intrigue d’un livre scolaire pour la rendre politiquement correcte. Avec le roman Schnatt (2023), Rewenig poursuit son exploration de la situation actuelle. L’auteur décrit, alternant les points de vue entre un facteur pensionné et son fils, une couche de la société chez laquelle l’exigence et le sentiment de supériorité ne trouvent pas leur place dans les structures de pouvoir sociales en constante évolution. Ce manque de sentiment d’appartenance entraîne chez les personnages un cercle vicieux où se succèdent perception d’une menace, rejet et radicalisation. Alors que Schnatt met surtout l’accent sur le point de vue des laissés-pour-compte de la société, le choix de la langue française dans le tome suivant, La coupe est pleine, est un indice de la vision que ses protagonistes bourgeois ont d’eux-mêmes, en tant que représentants d’une certaine culture. Un couple, dont le mariage tient plus de la guerre de tranchées que du partenariat, a invité des réfugiés ukrainiens pour le Nouvel An. Lorsqu’il devient clair, à une heure avancée, que ceux-ci ne viendront pas, l’opportunisme, le cynisme, la mentalité d’enfant gâté et la perte du sens des réalités des hôtes se dévoilent au grand jour. Dans le contexte d’une deuxième vague de réfugiés en l’espace d’une décennie, le récit, sous forme de dialogue, soulève la question pertinente de savoir qui, des hôtes ou des invités, a le plus besoin des autres.

Des extraits de ses œuvres ont paru dans de nombreuses anthologies, telles que Virum wäisse Blat (2003), Literaresch Welten (2012), Perdus de vue (2016) et dans des livres scolaires comme Sprachfuchs 4 (2016).

En 1997, le roman Mass mat dräi Hären est traduit en français par Jean Portante sous le titre La Cathédrale en flammes. Des extraits de ce même ouvrage sont traduits en espagnol par Juan Navarro et publiés dans abril. En 2017, cette revue publie également un extrait du texte Comment blanchir les bêtes noires sans les faire rougir en espagnol. Sous le titre de Cache-cache, Anna Schlechter traduit en français le récit Wëll Fra, qui a pour sujet l’immigration africaine au Luxembourg. Your Heart of Ice is Hot as Vice est la traduction anglaise par Sandra Schmit des quatre recueils de prose courte Dein Herz aus Eis macht mich ganz heiß, Der echte Kanufahrer rudert mit den Händen, Ungestüm hüpft der Hirsch in sein Kostüm et Album der Irrtümer und Wohltaten, parue en 2016 aux éditions Guy Binsfeld.

Depuis 1973, Guy Rewenig est par ailleurs auteur de livres pour enfants. De manière ludique, il défend le droit des enfants à l’autodétermination et aux espaces de liberté. Dans ce contexte, il a notamment écrit les poèmes Ballo Farfallo et Abirkalabim ainsi que les histoires Muschkilusch, Moss Kita, Zebra Tscherri, Käddikätsch, Palazzo Matrazzi et Komba la Bomba. Il collabore avec Irma Krauß, auteure allemande de livres pour enfants, pour Karogatto et avec Nico Helminger pour réaliser D’Schoul brennt. Muschkilusch, réédité à plusieurs reprises avec des illustrations, entre autres de Klaudia Kampa, est considéré comme le plus grand succès parmi les livres pour enfants luxembourgeois. Packatuffi a été traduit en roumain par Constanţa Ciocârlie et publié sous forme d’extraits dans abril, avec une traduction en espagnol d’Amparo Rueda Bueso.

De nombreux ouvrages de Guy Rewenig sont mis en musique, parmi lesquels Ballo Farfallo par Jean-Marie Kieffer ainsi que D’Schoul brennt et Sonndes däerf ee Wollécke fänken par Ab van Goor. D’autres, comme Komba la Bomba, paraissent sous forme de livres audio. Guy Rewenig participe aussi à la réalisation de plusieurs pièces radiophoniques. En 1985, il rédige le texte du conte musical De Pierchen an de Wollef, une adaptation de Pierre et le loup de Prokofiev, en collaboration avec Jang Linster. En 1987, il adapte Maus Kätti d’Auguste Liesch avec Jang Linster et Ab van Goor. En 1991, le livre audio Biller am Duerf présente des extraits de romans de Guy Rewenig et de Roger Manderscheid. Dans le recueil de photos Berlindiskret (Sandweiler, 2009), l’auteur livre ses impressions de la capitale allemande.

En 2000, Guy Rewenig fonde, en collaboration avec Roger Manderscheid, la maison d’édition ultimomondo, qui édite, entre autres, des livres pour enfants dans la série datscharitschi. À l’occasion de son dixième anniversaire, ultimomondo organise une série de lectures au Luxembourg et en Allemagne. Le Bicherbuch (Sandweiler, 2010) propose une rétrospective de la première décennie de la maison d’édition. La pièce de théâtre manderscheid: ein stillleben, créée en septembre 2011, constitue un hommage à Manderscheid après la mort de celui-ci. En 2014, la maison d’édition cesse ses activités.

Guy Rewenig réalise des traductions, à commencer par les versions allemandes de ses propres livres pour enfants Schallümmo et Karambo Laasch!, ainsi que la version luxembourgeoise des textes de Kolibri Kolibra. En 2000, il réalise une adaptation luxembourgeoise du poème Für Anna Blume de Kurt Schwitters pour le recueil A-N-N-A de Gerd Weiberg.

Guy Rewenig est membre du PEN Zentrum Deutschland et a été membre de la LSV. Il est récompensé à plusieurs reprises lors du Concours littéraire national entre 1978 et 2007, année où Le Chef d’orchestre à la baguette de bambou lui vaut le premier prix. En 2001, l’Association des instituteurs luxembourgeois lui décerne le prix Nic-Thoma pour ses mérites dans le domaine de la littérature pour enfants. En 2004, il se voit décerner le prix De Fiischen lors du Salon du livre d’enfant et de la jeunesse. En 2006, Guy Rewenig annonce dans un communiqué officiel au Tageblatt qu’il refuse ce prix. En 2005, il est lauréat du prix Batty-Weber pour l’ensemble de son œuvre. Comme Pol Greisch, Nico Helminger et Jean Portante, Guy Rewenig fait partie des écrivains ayant reçu le prix Servais à deux reprises : en 2006 pour le livre pour enfants Passt die Maus ins Schneckenhaus? et en 2010 pour le roman Sibiresch Eisebunn.

Cet article est signé Sandra Schmit

Publications

Participations diverses

Traductions

Collaboration à des périodiques

  • Titre des périodiques
    abril
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Cahiers luxembourgeois (Les). revue libre des lettres, des sciences et des arts
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Carleton Germanic Papers
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Ensemble. Association de soutien aux travailleurs immigrés
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    forum. fir kritesch Informatioun iwer Politik, Kultur a Relioun
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Kontrast. Wochenschrift für freie Meinung
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    kulturissimo. mensuel culturel et socio-politique
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Lëtzebuerger Almanach. Red.: Georges Hausemer ; Gestalt.: Heng Ketter
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Lëtzebuerger Land (d') / d'Letzeburger Land / LL. unabhängige Wochenschrift für Politik, Wirtschaft und Kultur
    Noms utilisés
    Norbert Krantz
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Livres-Bücher. Un supplément du Tageblatt
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
    Juanita Banana
  • Titre des périodiques
    Luxemburger Wort / d'Wort / LW
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Perspektiv. onofhängeg Zeitung fir Politik, Wirtschaft a Kultur
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Phare (Le). Kulturelle Beilage - Point de vue culturel
    Noms utilisés
    Leo Roth
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    pult (das). literatur, kunst, kritik
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Revue / Lëtzebuerger illustréiert Revue
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    Tageblatt / Escher Tageblatt = Journal d'Esch. Zeitung fir Lëtzebuerg
    Noms utilisés
    gr
    Guy Rewenig
  • Titre des périodiques
    woxx (Grénge Spoun). déi aner Wochenzeitung = l’autre hebdomadaire
    Noms utilisés
    Guy Rewenig
    United Guys

Études critiques

Distinctions

Membre

  • A:LL Schrëftsteller*innen
  • LSV - Lëtzebuerger Schrëftstellerverband [1986-2016]
  • PEN Zentrum Deutschland

Archives

  • CNL L-0202
  • BnL Ms 581
Citation:
Sandra Schmit, « Guy Rewenig », sous : , mise à jour du 01.02.2024, consulté le .